Réponses des candidats :

Ne souhaite pas répondre
Réponse détaillée :

(la candidate n'a pas souhaité répondre à cette mesure)

Pour
Réponse détaillée :

"Oui, je l'ai inscrit dans mon projet car j’estime que la culture est un enjeu majeur pour notre société. La culture actuelle tend de plus en plus à propager une conception du monde fondée sur la perception immédiate, la possession, la cupidité, l’absence de respect de l’autre via les écrans, les réseaux sociaux, l'ultra-violence dans les jeux vidéos. Je veux au contraire pousser tout ce qui permet de libérer les esprits, surtout chez les enfants et les jeunes.. Ainsi je veux rapprocher l’art du peuple  en créant des musées de l’imaginaire et des palais de la découverte sur tous le territoire, en introduisant l’apprentissage du chant choral, voire d’un instrument de musique à l‘école : http://www.cheminade2017.fr/Pour-une-culture-de-la-vie-et-de-la-decouverte."

Pour
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Réponse de Benoît Hamon sur la proposition 16(courrier du 13/4) : "Premièrement, la culture doit être au cœur de notre modèle de développement. C’est pourquoi nous souhaitons créer un ministère de la Culture, des Médias et du Temps libre, en soutenant le réengagement des collectivités locales, pour lutter contre les inégalités culturelles entre les territoires. C’est aussi pourquoi nous augmenterons l’ensemble des concours publics à la culture (Ministères, collectivités locales et recettes fiscales) à 1% du PIB. Ils passeront progressivement de 19 à 22M€ avec quatre objectifs : éducation, soutien à la création, fabriques de culture et réinvestissement territorial. Deuxièmement, la culture doit être partagée. Nous souhaitons donc valoriser la participation des citoyens aux  projets  artistiques  ou  patrimoniaux  et  reconnaît  la  richesse  et  l’expression  de  leurs  cultures. Nous avons besoin de beauté dans l’espace public, nous avons besoin de nous sentir spectateurs actifs et d’éprouver le désir et le plaisir de la pratique culturelle. L’art et le patrimoine doivent être une chance pour tous ; par l’éducation et la médiation,  à  l’école  et  tout  au  long  de  la  vie,  par  la  présence  d’une  offre  culturelle  sur  tous  les territoires. A cette fin, nous lancerons un grand plan pour les Arts à l’école: en inscrivant et en accompagnant tous les enfants de CP dans une bibliothèque, en développant les pratiques musicales collectives, l’éducation à l’image et en renforçant la présence des artistes dans les écoles, collèges et lycées. De plus, nous soutiendrons la création de Fabriques de culture, les projets dans l’espace public et les lieux de vie, la participation des artistes et des habitants pour faire vivre au quotidien les droits culturels. Enfin, nous pensons que pour soutenir la production artistique, nous devons protéger les artistes. Nous souhaitons pour cela agir dans trois directions. D’abord soutenir la position d’artiste et de créateur en sécurisant les parcours : les sorties d’écoles, les moyens de création, en développant les ateliers logements. Ensuite favoriser la rémunération du travail artistique dans ses différentes dimensions : les ventes d’œuvres, mais aussi les phases de création et de recherche, les expositions, avec l’application effective du droit d’exposition dans les centres d’art labellisés, l’action culturelle en intégrant « les revenus accessoires », y compris pour les intermittents. Enfin améliorer la protection sociale liée à l’ensemble des activités et des carrières, notamment avec la création d’un statut de l’artiste : retraite complémentaire, accidents du travail, et revenir sur la dichotomie entre affiliés et assujettis avec une caisse unique de protection sociale.  

Plutôt pour avec réserves
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"Je croyais que mes enfants ne sauraient jamais chanter dans la langue de mes parents. Aujourd’hui ils chantent par groupes entiers avec guitares, banjos et mandolines. J’en rencontre d’autres…Ils refont le pays. Mais sans un peu d’argent ces initiatives ne peuvent pas survivre. Je les financerai (même si ce ne serait pas responsable de s’engager sur « 2% »). Sans la culture française, sans l’impertinence et la gouaille française, la France déchoira en destination de tourisme de masse, que l’on viendra seulement visiter pour ses paysages et son patrimoine architectural passé. C’est le génie de nos générations d’aujourd’hui qui peut donner le souffle, donner la vie, à l’héritage des siècles."

Pour
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"Nous remettons l’équité territoriale et sociale au coeur des politiques culturelles. Celles-ci doivent davantage impliquer les citoyen·ne·s, être construites à partir des besoins et non plus seulement sur le principe de l’offre culturelle. Nous promouvrons la culture dans toutes ses diversités. Au sens le plus large, la culture désigne toute production des sociétés humaines, et une politique culturelle doit tenir compte, au-delà des arts, d’autres pans de la culture comme les langues régionales, la culture scientifique et technique, etc. Enfin, nous considérons que la culture est un outil d’émancipation de l’individu aussi bien qu’un instrument du vivre ensemble. L’impact de la culture devra être considéré en termes de qualité de vie et de lien social, au moins autant qu’au regard de l’économie, de l’attractivité et de l’emploi. Nos propositions sont explicitées dans notre livret thématique « Une culture proche des citoyens, accessible à tous ». Certaines d'entre elles sont inspirées : - de Futurs Composés : - de l’Union Fédérale d'Intervention des Structures Culturelles : - de L’art déclare

Pour
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Nous ne retenons pas le même instrument de mesure mais notre proposition est similaire à la vôtre : « Porter le budget consacré à l’art, à la culture et à la création à 1% du PIB chaque année »