Réponses des candidats :

Ne souhaite pas répondre
Réponse détaillée :

(la candidate n'a pas souhaité répondre à cette mesure)

Ne souhaite pas répondre
Réponse détaillée :

"Cette proposition est intéressante mais j'aurais besoin de plus de temps pour y réfléchir et me prononcer."

Pour
Réponse détaillée :

Réponse de Benoît Hamon sur la proposition 19 (courrier du 13/4) : "L’enseignement supérieur et la recherche français font aujourd’hui face à des défis majeurs. Notre pays occupe encore une place de choix dans le monde, mais une place fragile et menacée. Il nous faut défendre et promouvoir notre modèle d’enseignement supérieur et de recherche. Ce modèle, c’est celui d’un service public de l’enseignement supérieur, financé principalement par l’État, ouvert et accessible. L’enseignement supérieur et la recherche doivent avoir les moyens de ces ambitions et être élevés au rang de priorité nationale. Nous voulons accompagner l’augmentation du nombre d’étudiants, améliorer la qualité des enseignements,  renforcer le potentiel de recherche de nos laboratoires, et renouveler les générations d’enseignants-chercheurs et de chercheurs. Pour cela, nous investirons un milliard d’euros supplémentaire par an pour arriver à 3% du PIB. Nous créerons également 7 500 emplois dans les universités et les laboratoires et revaloriserons de 10 % la rémunération des universitaires et chercheurs en début de carrière. Actuellement, 27% des 17 000 nouvelles thèses débutées chaque année ne font l’objet d’aucun financement. Nous pensons, qu’aucune thèse ne doit être menée sans financement, afin de lutter contre la précarité des doctorants et de limiter les abandons en cours de thèse. Enfin, nous tenons à ce que la recherche soit un lieu important de débat et de rencontre avec l’action et la décision publique. Ainsi, nous souhaitons rapprocher la recherche de la décision publique. Nous souhaitons par exemple qu’un conseil de scientifiques de haut-niveau sera placé auprès du Président de la République pour éclairer la prise de décisions publiques. Retrouvez d’autres mesures pour l’enseignement supérieur et la recherche."

Sans prise de position
Réponse détaillée :

"L’État recommencera à investir dans la recherche et le développement. Pas seulement en défiscalisations dont une trop grande part est détournée. Pas seulement en appels à projet, qui obligent nos chercheurs à se faire plumitifs et chasseurs de primes. Mais en nous lançant dans les grandes aventures qui nous feront redécouvrir notre monde et notre humanité."

Pour
Réponse détaillée :

"Nous sommes parfaitement alignés sur cette proposition, et pensons qu’à l’heure actuelle il est primordial de définir des priorités dans la recherche afin qu’elle soit au service de l’intérêt général durable. Dans notre livret thématique intitulé « Une recherche dynamique, des innovations servant l’intérêt général », nous préconisons notamment de « défendre une recherche appliquée au service des citoyens » : - Connecter les laboratoires et les TPE et PME en installant un portail de demande mutuelle. Par des protocoles administratifs et numériques, les TPE et PME partenaires pourront proposer des projets de recherche et, dans l’autres sens, les laboratoires pourront proposer aux entreprises d’aider à la réalisation de projets de recherche. Nous investirons dans un premier temps 500 millions d’euros dans les projets les plus demandés. - Créer un conseil d’évaluation des besoins en recherche translationnelle permettant de substituer à la loi du marché un pouvoir de décision citoyen sur les priorités en matière d’applications ; ce conseil devrait être constitué de parlementaires, de représentants de la société civile et du monde associatif, de représentants des personnels des institutions de recherche et de l’enseignement supérieur. Par ailleurs, nous faisons nôtre la proposition du Collectif citoyen pour une démocratie durable qui consiste à lancer un « programme national d’innovation et d’expérimentation de rupture » : https://tinyurl.com/ccdd-300-mesures. La recherche et l’innovation de demain doivent prendre en compte les nouvelles contraintes du XXIe siècle et permettre de rendre les progrès accessibles à tous, plutôt que de se focaliser sur l’amélioration des performances et la fabrication de nouveaux besoins. Par contre, jusqu’ici nous n’a pas pris en compte la définition des priorités par des comités d’éthique incluant une participation effective des citoyen.ne.s… mais trouvons que c’est une excellente idée. Nous l’avons donc incluse dans notre programme, comme vous pourrez le vérifier dès que la mise à jour du site internet sera faite (avant le 21 mars)."