Réponses des candidats :

Ne souhaite pas répondre
Réponse détaillée :

(la candidate n'a pas souhaité répondre à cette mesure)

Contre
Réponse détaillée :

"Je souhaite plutôt une extension du RSA dès 18 ans et d’un montant de 600 euros par mois, ainsi qu'une dotation équivalente pendant 3 ans pour ceux qui étudient. L'on pourrai y ajouter un capital de 5000 euros auquel un jeune décidant de monter sa Start-up ou son entreprise pourrait avoir accès comme proposé par l'initiative #Inventons2017. Nul besoin donc de créer une nouvelle allocation. Pour lutter contre la pauvreté,  mon pari est avant tout une société du plein-emploi : j'estime que si l'on y met vraiment tous les moyens, notamment en luttant réellement contre la dictature financière, l'on peut créer 5 millions d'emplois : http://www.cheminade2017.fr/Pistes-pour-creer-cinq-millions-d-emplois-en-cinq-ans-1637."

Pour
Réponse détaillée :

Réponse de Benoît Hamon sur la proposition 06 (courrier du 13/4) : "Toute personne a droit inconditionnellement à un revenu parce qu’elle existe et qu’elle doit, où qu’elle se trouve et quel que soit son âge satisfaire à des besoins vitaux. Celui-ci est alloué individuellement sans condition ni contrepartie. Il est inaliénable. Ce revenu découplé de l’emploi est tout simplement l’expression d’un droit universel et inconditionnel à une existence digne. Il assure à chaque être humain le minimum pour se loger et se nourrir correctement. Dès 2018, nous ouvrirons le droit à un revenu universel d'existence à tous les actifs occupés ou non-occupés (étudiant, salariés, travailleurs indépendants...) âgés de plus de 18 ans. D'un montant de 600€ par mois, il sera distribué automatiquement (sans démarche administrative) et visible sur la fiche de paie ou un bulletin de revenu universel d'existence pour ceux qui ne travaillent pas."

Plutôt pour avec réserves
Réponse détaillée :

"Le RSA n’est pas accessible aux jeunes, sauf s’ils ont un travail ou ont parents ; aussi vous proposez une « allocation d’autonomie » ou une autre formule pour les jeunes en cours d’études ou au chômage. Réfléchissons avant d’ajouter une nouvelle couche à un système déjà bien épais : aller vers un revenu de base, inconditionnel ou « universel », ne serait-il pas plus simple, et au final plus économique, que de multiplier des allocations différentes censées couvrir tous les cas possibles ? Cette idée de « revenu universel » n’est pas mûre, pas plus en France que dans d’autres pays ; mais elle doit faire partie de la conception des régimes sociaux futurs."

Pour
Réponse détaillée :

"Ce combat est au centre de nos préoccupations et de nos réflexions. Notre proposition n’est pas exactement superposée à celle que #LesJoursHeureux développent dans la proposition n°6, mais il s’agit bien de s’attaquer aux mêmes maux et d’aboutir à une société durable et digne, où la pauvreté aura nettement reculé et dont l’extrême-pauvreté aura totalement disparu. Il s’agit aussi de renverser le rapport de force entre employés et employeurs, pour qu’une personne jugeant sa condition d’employé indigne ne puisse plus être soumise à un chantage au chômage. Instaurer un revenu universel incitera les entreprises à créer des environnements de travail sains et décents. Notre proposition est multiple puisqu’elle combine l’instauration d’un revenu universel, une réforme fiscale d’envergure, une réforme des systèmes de protection sociale et un partage du temps de travail (voir proposition n°10). Tout cela s’imbrique et constitue un tout cohérent et rigoureusement finançable. Par ailleurs, nous proposons de mettre en place les conditions de développement, dans les territoires, d’une « dotation inconditionnelle d’autonomie » : réforme progressive de la fourniture des services payants de première nécessité afin de garantir des « droits d’accès et de tirage » financés par la tarification de l’usage abusif. À chacun·e sera alloué un droit d’usage (minimum vital) d’un certain nombre de ressources de base (eau, énergie, couverture santé, transports en commun, télécommunications et internet…) ; au-delà de cette dotation de base, la tarification sera progressive et fonctionnera par seuils successifs, les tarifs augmentant significativement pour les tranches supérieures, dans lesquelles l’usage excessif de ressources sera considéré comme du mésusage et surfacturé. Pour connaître les détails de notre proposition, nous vous invitons à consulter notre livret intitulé « Vers une politique socio-économique responsable pour un monde juste » "

Pour
Réponse détaillée :

"Nous approuvons cette proposition : nous proposons une allocation autonomie de 800 € pour les jeunes de 18 à 25 ans en études, sous conditions de ressources et pour 3 ans."