Réponses des candidats :

Ne souhaite pas répondre
Réponse détaillée :

(la candidate n'a pas souhaité répondre à cette mesure)

Pour
Réponse détaillée :

Réponse de Benoît Hamon sur la proposition 02 (courrier du 13/4) : "Nous voulons faire des citoyens des décideurs, en leur permettant participer activement à la vie publique. Nous soumettrons à référendum, dès le lendemain des législatives, le 49.3 citoyen, qui mettra fin à la démocratie intermittente. Il permettra à 1% du corps électoral : d'imposer au Parlement d'examiner une proposition de loi proposée par les citoyens (droit d'initiative citoyenne) ; de suspendre l'application d'une loi adoptée par le Parlement, jusqu'à un an après sa promulgation, pour que celle-ci soit soumise à référendum (référendum d'initiative citoyenne). Nous donnerons le pouvoir aux citoyens d'écrire la loi de manière collaborative par l'écriture d'"amendements citoyens" sur le modèle du projet de loi pour une République numérique. Nous mènerons également une politique d'open data et de transparence des données publiques. Nous garantirons un large accès du public aux données conservées et traitées par les administrations publiques. Enfin, nous mettrons en place un budget participatif au niveau national. Après une campagne d’information, les projets seront soumis à un vote en ligne et dans chaque mairie. L’enveloppe sera dépensée sur les 3 à 5 projets préférés par les Français."

Plutôt pour avec réserves
Réponse détaillée :

"L’idée est belle mais il faut beaucoup plus. Ces exigences valent pour toutes les politiques, ne les limitons pas à une sorte de « réserve parlementaire citoyenne » qui ne serait que de quelques dizaines de millions d’euros. (Je propose d’ailleurs d’abolir la réserve parlementaire). Nous avons créé en Haut-Béarn un « Conseil de gestion patrimoniale » qui est consulté sur tous les sujets. Il permet d’écouter tous les usagers du territoire, de prendre du recul, de mettre en perspective. Cela demande plus de temps que celui des débats politiques habituels sous la pression des exécutifs… mais c’est du temps gagné. Car débattre de façon ouverte, patiente, permet d’aller à l’essentiel."

Pour
Réponse détaillée :

"Nous avons prévu de créer un « fonds national d’initiative citoyenne » qui permettra aux citoyen·ne·s d’être force de propositions auprès des pouvoirs publics, en utilisant les 137 millions d’euros de réserves parlementaires actuellement utilisés pour financer le clientélisme. Voir notre livret thématique « Une politique éthique donnant du pouvoir aux citoyens » : https://charlotte-marchandise.fr/wp-content/uploads/2017/03/PROGRAMME_CMF-Thematique_1.pdf. Nous souhaitons aussi instaurer un référendum d’initiative citoyenne qui se substituerait à la révision constitutionnelle de 2008 qui permet à un dixième du corps électoral complété par un cinquième des parlementaires d’obtenir la tenue d’un référendum d’ordre législatif. Dans notre cas, l’initiative est à 100% citoyenne. Le mécanisme d'expression directe que nous proposons permettra à une fraction des citoyens de proposer des initiatives constitutionnelles ou législatives dans tous les domaines, sur lesquelles l'ensemble de la population peut alors voter. Il s’agit selon nous du seul outil démocratique et efficace permettant au peuple d'exercer pleinement la souveraineté nationale qui lui appartient, garantissant que les élus écoutent davantage les citoyens."

Pour
Réponse détaillée :

"Nous approuvons cette proposition prônant l’instauration d’un référendum d’initiative citoyenne, idée à laquelle nous sommes particulièrement attachés. Le programme l'Avenir en commun écrit ainsi « Instaurer le référendum d'initiative citoyenne et le droit des citoyens de proposer une loi ». Les modalités exactes de la mise en œuvre de cette proposition devront être précisées."